Austin 3:16 says I just whipped your ass

nom : Anderson prénom(s) : Steven James date de naissance et âge : 18 décembre 1964, soit 54 ans lieu de naissance et nationalité : Austin, Texas origines : Américaine statut social : Aisée emploi/études : Acteur, Producteur, Animateur radio et télé orientation sexuelle : Hétérosexuel statut matrimonial : En couple groupe : Civil nom de scène : Stone Cold Steve Austin (utilisé dans sa précédente carrière et encore dans le milieu des médias). ft. avatar : Stone Cold Steve Austin

Caractère ici en 5 lignes minimum. Steven Anderson, plus connu sous son nom de ring “Stone Cold Steve Austin”, est un homme épris de liberté, peu enclin à se faire marcher dessus par le premier venu. Grande gueule sachant l’ouvrir et adepte du franc-parler, l’ancien lutteur n’est pas le genre à garder ses pensées pour soi, un peu comme son gimmick, mais avec moins de décoffrage. Un peu bourru en apparence, mais affable en privée, Steven Anderson est loin d’avoir le même  caractère du personnage, dont il a incarné le rôle pendant plusieurs décennies. Ce dernier est du genre ouvert, disposé à offrir des conseils ou une oreille attentive si nécessaire. Un homme amical, amateur de voyages, d’aventure, de rencontre autour d’une bière, “Stone Cold” est très attaché à la légendaire hospitalité du sud, qu’il partage à la première occasion.

Un self-made man dans l’âme, Steven Anderson est respectueux de ceux qui partent du bas de l’échelle pour atteindre des sommets. Il a l’âme d’un entrepreneur, l’archétype de l’américain moyen en quête permanente de son rêve. Nullement égoïste, il est prêt à soutenir et prodiguer de l’aide au plus méritant et travailleur. “The Man” Becky Lynch ou encore Kevin Owens, une quantité formidable de lutteurs et lutteuses était venu demander conseil lorsque le catch était à son sommet. Puis… Il y eut la chute de la WWE et de tout le business avec elle.

Suite au déclin abyssal du catch, “The Rattlesnake” est devenu nostalgique de ce passé glorieux dont il faisait partie. Si bien qu’il tombât en dépression, aggravée par ses consommations excessives d’alcool. Ceci, peu de personne était au courant, seulement une poignée à l’instar de ses amis Dwayne Johnson, Richard Fliehr et Mick Foley. De base peu patient, impulsif et facilement colérique, “Steve Austin” s’est illustré par des excès de colère mémorable, dont certaines ont eu des conséquences désastreuses. Depuis, les choses ont commencé à mieux aller, surtout depuis les visites chez la thérapeute et l’instauration d’un traitement. Comme quoi, nul homme est infaillible et encore moins à l’abri d’une descente aux enfers.

La naissance de la légende “Stone Cold” naquit à deux dates différentes. 18 décembre 1964 à Austin, capitale de l’état du Texas, où Steven James Anderson vit le jour. Et 1996, au tournoi King of The Ring, où “Stone Cold Steve Austin” imposait à tous son fameux “Austin 3:16”.

Avant sa montée en gloire à la WWF (la WWE s’appelait ainsi, avant que tu sois né frère !), rien ne laissait présager sa montée en gloire. Son enfance marquée par le divorce de ses parents et un déménagement à Edna, une bourgade non loin d’Austin, le texan s'intéressa très tôt au sport. Celui-ci avait bien failli devenir un professeur de sport… Une carrière bien moins glorieuse, il convient de dire.

Paul Heyman, Eric Bischoff, Ricky Steamboat, Hacksaw Jim Duggan (HOOOOOOOOOOOOOOO), William Reagal, Ric Flair, Steven Anderson les avait tous fréquenté à la WCW et ECW, avant même d’arriver à la WWF. Il débuta au sein de la compagnie de Vince McMahon sur les recommandations de Jim Ross et Kevin Nash. Et dut attendre l’année 1996 pour que sa carrière connaisse le “push” qui allait le pousser vers le sommet sa gloire. Sa victoire contre Jake “the Snake” Roberts en finale du tournoi King of The Ring marqua l'avènement de “Austin 3:16” , qui allait faire rentrer “Stone Cold Steve Austin” dans la légende.


L'Attitude Era aura été la période la plus prolifique pour l’ancien lutteur, avec des feuds qui ont marqué l’histoire de la WWE. Comme la rivalité avec Bret “The Hitman” Hart, dont les images du Royal Rumble 1997 et de Wrestlemania XIII, qui ont forgé la réputation de Steven Anderson. The Rock, Mankind (ancien gimmick de Mick Foley), Triple H, tous ont eu l’occasion de goûter à un Stunner, à des coups de chaises et aux promos virulentes de “Stone Cold”. Ces années fastes de la WWF furent marquées par la profusion de violence, de sang, d’alcool et de sexe, des shows tournés vers de jeunes adultes avides de rebondissement. HELL YEAH ! Pour Steven, ces années furent les meilleures de sa carrière, mais est-ce que c’était mieux avant ? Loin-delà.

La succession de rivalités avec The Rock et l’invasion de la WWE par l’alliance, marquèrent la fin de la carrière de “Stone Cold Steve Austin”. A Wrestlemania XIX, Austin affronta “The Great One” dans ce qui sera son dernier match en tant que lutteur à la WWE. Sa carrière de lutteur prit officiellement fin en 2003, à la suite de ce pay-per-view. Pour autant, Steven Anderson ne s’éloigna pas définitivement du ring, ni même du catch. Occasionnellement invité, ce dernier épaulait une nouvelle génération en devenir. Tandis que la sienne s’éclipsait, à l’instar de Ric Flair, Shawn Michaels ou même Kurt Angle… Seul Mark Calloway aka The Undertaker restait actif dans le business.


Le monde du catch se portait bien et “Stone Cold Steve Austin” aussi. L’ancien lutteur faisait désormais partie du WWE Hall of Fame et s’affairait à faire tourner son show-radio consacré à la lutte professionnel. Puis il y eut la mort soudaine de Vince McMahon, CEO de la WWE, dont le décès entraîna toute la quasi-totalité de la profession avec lui. Le catch n’était plus un divertissement, ce n’était plus qu’un passé révolu voué au désintéressement de la jeunesse américaine. Chose que Steven Anderson avait du mal à assumer dans l’immédiat, si bien qu’il tomba dans une dépression qu’il combat toujours. Après un retrait de la vie publique de plusieurs mois, “Stone Cold” revint sur les devants de la scène dans le domaine sur journalisme sportif et dans le cinéma.

On pourrait penser qu’il avait tourné la page, pourtant ce n’était pas le cas. Difficile de tourner le dos sur ce que l’on a été… Puis un jour, il y eut ce déplacement à Cincinnati qui bouleversa pas mal de chose.

nom ou pseudo : Western_blotâge : 23 ansfréquence de connexion : 4.5/7autre chose : WHAT !?